Le secteur agricole a perdu environ 10 millions d’hectares dans le monde, comme démontré lors de la réunion tenue en Argentine avec les dirigeants du secteur agricole du G-20.

La question de l'action climatique a été abordée pour la première fois par le G20 en 2008. En 2017, elle a été officiellement discutée au sein du groupe de travail sur le développement durable, qui traitait également des questions énergétiques.

L'agenda comprend la lutte contre l'adaptation au changement climatique, la création de stratégies et de mécanismes à long terme pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et la mobilisation des flux de financement climatique.

«Nous travaillons à la conclusion d’accords qui favorisent un monde plus juste et plus durable», a déclaré Sergio Bergman, ministre argentin de l’environnement et du développement. Les participants à la réunion considèrent cette perte est un dommage irréversible et très coûteux pour les pays émergents.

La dénomination G-20 est le terme alphanumérique qui désigne le...

forum des 19 pays industrialisés et émergents, plus l’Union européenne. L’Espagne apparaît dans ce forum comme « invité permanent ».

Les progrès des technologies et de l’innovation dans l’agriculture impliqueront moins de dépenses, plus de personnes nourries et moins de pression sur le climat et les ressources naturelles, a-t-on insisté.

La faim et la malnutrition sont deux des conséquences que les ministres ont envisagées face à l’absence de progrès dans les plans agro-industriels, en tenant compte des différents problèmes dans chacun des pays.

L’Espagne a également soulevé l’importance du multilatéralisme dans les accords commerciaux. Le pays a également souligné la nécessité pour l’industrie alimentaire mondiale d’avoir un cadre stable à son développement et de limiter l’incertitude résultant de tensions commerciales.

Au cours de ce sommet, l'Education et  l'Emploi du G20 vont aborder ensemble l'avenir du travail, les stratégies d'action climatique, les initiatives pour réduire la fracture numérique entre les sexes et les opportunités offertes par la révolution numérique ont été débattus.

MN